mardi 4 août 2009

Fini de jouer.


Sur le chemin d'l'église
Y'avait un gosse, jonglant avec les étoiles
Il avait tout perdu, restent les mémoires de ces dimanches sans teint
A apréhender la vie, à se planquer pour quelques déboires.
Tiens-toi bien, lève les yeux, qu'ils disaient,
Au marmot.
Regarde loin devant toi, ne te retourne pas, qu'ils disaient,
Au petit jongleur de mes nuits.

L'avait tout perdu mais il était
Bien plus heureux
Plus heureux qu'eux.
Il s'marrait en zigzaguant entre les balles
Qui m'sifflaient aux oreilles.
Il se foutait de nos gueules,
De nos corps pourris par le poids des années
De nos pauvres petits esprits trop étroits.
Il dansait avec les munitions qui s'écoulaient,
Il riait si fort,
Quand les douilles touchaient le sol.

Et puis au matin,
Sacrifié sur l'autel de nos vies,
Le gosse qui s'marrait trop,
Les mains brulées pour avoir voulu
Toucher le ciel.

5 commentaires:

  1. PACSons nous. Par ce que le mariage, Fuck. Ou au pire , "Fuck" tout court . Mais uniquement si tu me dis des poèmes pendant que j'avale ton foutre . :)

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  2. disons que ce sera ton exmen pour rentrer dans la bete à cinq bites.

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  3. Ca serait trop d'honneur. Je peux même le faire sans carotte au bout ( Oouuuh . Sympa le jeu de mot . ) Tu sais, suçer pour une promotion, c'est dépassé. Maintenant il faut accepter la façiale & la sodomie.
    J'adore notre époque!

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  4. c dkla merd serieuxxxxxxxxxxxxx........................

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